Tabouret de bibliothèque à transformation, par Jacob Frères

Sièges

XVIIIe siècle

Tabouret de bibliothèque à transformation, par Jacob Frères

Jacob Frères (1796 - 1803)

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Sièges du XVIIIe siècle

Tabouret de bibliothèque à transformation, par Jacob Frères

DIMENSIONS :

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Rare tabouret de bibliothèque à transformation en acajou de St Domingue.

De forme rectangulaire et reposant sur quatre pieds fûts, il est recouvert d’un cuir noir.

Par un judicieux système de bouton poussoir, le plateau comprenant la garniture, libère un escalier de bibliothèque escamotable à six marches.

Parfait état de conservation.

Estampillé « Jacob frères rue Meslée » sur une traverse latérale.

Travail français d’époque Consulat vers 1800.

Dimensions :

Fermé : Hauteur : 53,5 cm Largeur: 48,5 cm ; Profondeur : 62 cm

Ouvert : Hauteur : 92 cm (marche) ; Largeur: 48,5 cm ; Profondeur : 104 cm

Modèles similaires:

- Cabinet topographique de l’empereur Napoléon 1er au chateau de Versailles (grand Trianon)

- Vente Tajan 20 Décembre 2000, lot 264 estampillé CANABAS (47 280 euros)

- Vente Artcurial 9 Octobre 2013 lot 83 (28 758 euros)

Jacob Frères (1796 - 1803)

L’estampille : "Jacob frères, rue Meslée" est utilisée par les deux fils de Georges Jacob: Georges II (1768-1803) et François-Honoré-Georges (1770-1841), qui s'associent pour reprendre l'atelier de leur père sous la raison sociale « Jacob Frères ».


L’association durera de sa création en 1796 jusqu’en 1803, date de la mort de Georges II.
 Dans l'entreprise qu'ils dirigèrent ensemble jusque vers la fin du Consulat, l'aîné (Georges II Jacob) s'occupa de l'administration commerciale et le cadet de la partie technique. François-Honoré-Georges se faisait appeler Jacob-Desmalter, du nom d'une propriété que son père possédait en Bourgogne.
Le général Bonaparte, en revenant d'Italie, commanda aux frères Jacob, pour sa chambre à coucher rue Chantereine, un curieux mobilier militaire dont le lit simulait une tente et les sièges des tambours. Plus tard le Premier Consul fit appel aux mêmes ébénistes pour remeubler les anciennes résidences royales dévastées par la Révolution.

Après avoir produit jusqu'alors des ouvrages d'un goût très sobre, qui valaient surtout par le caractère et la pureté du style, les Jacob commencèrent à fabriquer des morceaux plus richement ornés de sculptures et de bronze. 

Paire de fauteuils par Jacob frères, Paris vers 1800

Paire de fauteuils par Jacob frères, Paris vers 1800

Paire de fauteuils pour enfants attribuée à G. Jacob vers 1795

Paire de fauteuils pour enfants attribuée à G. Jacob vers 1795

Paire de fauteuils à la reine par Nogaret, Lyon vers 1770

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Paire de chaises en acajou massif par G. Jacob, vers 1780

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Paire de fauteuils cannés par René Cresson, Paris vers 1740

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Tabouret de bibliothèque à transformation, par Jacob Frères

Tabouret de bibliothèque à transformation, par Jacob Frères

Fauteuil de bureau par Jean Boucault, Paris époque Louis XV

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Paire de larges bergères coin de feu, JB Lelarge à Paris vers 1780

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Bergère aux sphinges attribuable à Molitor, Paris époque Consulat

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